Cela fait plus d’un an que la pandémie de Covid-19 a commencé et je pense que nous pouvons tous convenir que cela a été une période difficile. Nos vies ont changé instantanément.
Alors qu’on peut espérer que la fin de cette pandémie approche, nous réfléchissons aux difficultés auxquelles nous avons fait face et aux leçons que nous avons apprises. Nous avons vu le bon, le mauvais et le laid. Nous avons appris à pivoter et à nous adapter – peut-être avons-nous essayé un ou deux nouveaux passe-temps. En d’autres termes, nous avons appris des choses, détesté des choses et adoré d’autres à propos de la vie pendant la pandémie.
J’ai demandé à quelques employés de Sullair et quelques membres de notre réseau de distributeurs agréés Sullair de revenir en arrière sur l’année écoulée et de partager leurs expériences. Voici ce qu’ils ont dit :
Dave Henning, Diversified Air Systems, directeur des ventes
John Landry, Air Compressor Energy Systems (Aces), directeur des ventes
Chad McKeever, Sullair, vice-président des opérations
Brian Sloan, Sullair, directeur principal du SAV
Brian Tylisz, Sullair, vice-président principal des ventes pour les Amériques
Dave Henning : L’importance de l’autodiscipline ! Sans autodiscipline, il serait très difficile de rester concentré sur son travail et de ne pas se laisser distraire par les choses qui se passent chez soi chaque jour. J’ai eu la chance de ne pas avoir de nombreuses distractions chez moi, comme par exemple des enfants. J’ai pu aller à mon « bureau » à l’étage du bas chaque jour et ne refaire surface qu’à l’heure du déjeuner et à la fin de la journée dans la plupart des cas.
J’ai également appris que de nombreuses personnes veulent une certaine interaction personnelle. Utiliser le temps passé avec les clients de la façon la plus productive. Être mieux informé des outils disponibles pour contacter les gens comme LinkedIn, les groupes de réseaux.
John Landry : J’ai toujours eu de la patience mais ça s’est encore amélioré avec la façon dont les choses se sont passées au cours de l’année écoulée.
Chad McKeever : On ne peut pas remplacer l’interaction humaine et l’importance que les gens ont dans nos vies. Nos employés continuent d’être notre plus grand actif et leur persévérance pour surmonter une période difficile et éprouvante me remplit d’humilité.
Brian Sloan : La patience : dans ma propre vie de famille, nous fonctionnons toujours à 200km heure, tous les jours. Avec la pandémie, il nous a fallu apprendre à être plus patients. Faire la queue pour entrer dans un magasin, attendre que quelqu’un s’éloigne d’une zone pour pouvoir attraper votre article, et attendre quelque chose que vous vouliez avoir maintenant mais qui est en rupture de stock ou le magasin n’en a plus.
Brian Tylisz : Qu’il faut faire preuve d’agilité dans notre réflexion et notre approche des marchés que nous desservons à tout moment. Cette année nous a appris que notre environnement peut changer dramatiquement en une courte période.
Dave Henning : Le confinement ! Je m’épanouis quand je sors du « bureau » et que j’ai des contacts personnels. Ma personnalité ou mon ensemble de compétences s’accommode mal de rester devant un ordinateur 8 heures par jour.
John Landry : Le manque d’interaction de personne à personne en référence aux appels/réunions de vente, etc.
Chad McKeever : L’impossibilité d’interagir et de communiquer facilement avec d’autres personnes. Nos activités sont axées sur des contacts avec des personnes et il a été difficile de renforcer des relations de travail lorsque les distances étaient requises pour maintenir notre sécurité individuelle et notre bien-être.
Brian Sloan : Voir beaucoup d’amis et de proches perdre leurs emplois ou avoir des réductions de salaire.
Brian Tylisz : Ne pas voir nos clients en personne pour comprendre leurs besoins et les aider avec des solutions en matière d’air comprimé.
Dave Henning : Pas grand-chose vraiment ! Si ce n’est que mon compte en banque a augmenté parce que je ne pouvais rien faire !
John Landry : La plupart des gens/clients comprennent combien il a été difficile de fournir des produits/services dans les temps et ils ont navigué contre vents et marées et donc je dirais la compréhension que nous sommes tous dans la même galère.
Chad McKeever : Apprendre la portée de la passion intérieure de nos employés pour répondre aux besoins de nos clients. Sullair reste fort par suite de l’engagement dont les employés ont fait preuve sur l’ensemble de notre entreprise mondiale.
Brian Sloan : J’ai adoré voir les choses ralentir un peu, j’ai commencé à faire plus les courses et à faire la cuisine chez moi avec la famille au lieu de toujours attraper quelque chose à manger vite fait. Ça a permis de passer plus de temps et de jouer à des jeux ou de regarder des films avec la famille.
Brian Tylisz : Passer plus de temps à apprendre comment se connecter efficacement avec d’autres personnes par des moyens numériques – courriel, téléphone (voix) et visioconférence.
Dave Henning : Honnêtement, si ce n’est pour le travail à la maison (ce que j’ai plus ou moins toujours fait), il n’y a pas eu de grands changements en ce qui me concerne. Je vois que cela peut être intéressant que certains employés ne retournent pas au bureau mais, d’un autre côté, il y en a beaucoup qui ne travaillent pas bien chez eux et ont besoin d’avoir une supervision.
John Landry : Les réunions virtuelles semblent être quelque chose qui va rester et elles constituent un moyen efficace de mener à bien beaucoup d’activités.
Chad McKeever : L’utilisation des listes de contrôle de santé des employés et la surveillance de leur température en usine. Ces deux mesures ont conduit nos employés à faire de meilleurs choix et ont protégé nos collaborateurs.
Malgré le fait qu’ils aient fait face à la pandémie cette année, nos employés ont maintenu un niveau plus élevé de santé générale en refusant obstinément de transmettre des maladies des uns aux autres, ce qui était culturellement acceptable auparavant. Venir au travail quand on est malade n’est plus considéré comme une preuve de courage mais plutôt comme un signe d’égoïsme et d’irresponsabilité envers ceux qui travaillent avec nous.
Brian Sloan : Être simplement plus proactif envers les besoins de la vie personnelle et ceux de la vie professionnelle.
Brian Tylisz : Je pense que de nombreuses personnes se sont habituées aux visioconférences pour permettre de mieux communiquer quand on ne peut pas être là en personne. Je pense que c’est un excellent outil pour l’avenir mais cela ne peut pas remplacer les rencontres en personne lorsque la discussion comporte des éléments critiques.
Dave Henning : Cela vous a certainement fait plus apprécier ceux qui sont importants dans votre vie ! Créé de nombreuses questions sur les libertés civiles, ce que nous pouvons faire et ne pas faire !
John Landry : J’ai toujours essayé d’être respectueux du temps et de l’espace des autres personnes, mais je pense que cela a mis le respect des autres sous un éclairage nouveau.
Chad McKeever : Faire preuve de considération envers les autres en ne propageant pas inutilement des microbes. Je vais continuer à me laver les mains plus souvent, à ne toucher que ce qui est nécessaire, à porter mon masque et à limiter mon exposition aux autres lorsque je ne me sens pas bien. Je ne suis pas seulement responsable de ma propre santé, mais de la santé de ceux qui m’entourent.
Brian Sloan : Comme je l’ai dit auparavant, la patience !
Brian Tylisz : Cela m’a appris de donner plus de valeur que jamais aux relations personnelles. Si nous ne pouvons pas être ensemble physiquement, je suis reconnaissant des relations développées avant Covid car cela a permis de poursuivre une bonne communication en ces temps étranges. C’est difficile de cultiver une nouvelle relation uniquement par des moyens numériques.
Dave Henning : Sans aucun doute la valeur de la famille ! Car beaucoup d’entre nous n’étaient pas en mesure de rencontrer des proches (et des amis) ou d’avoir des contacts personnels avec eux.
John Landry : Le temps passé en famille a toujours été une chose primordiale pour nous. Ça été formidable de pouvoir passer plus de temps avec la famille.
Chad McKeever : Passer du temps avec des collègues, des amis et des proches d’une façon traditionnelle. Qu’il s’agisse d’aller boire un pot après le travail, de fêter notre pique-nique familial annuel, ou d’aller à un déjeuner d’équipe en prenant la même voiture, tout cela m’a énormément manqué et je suis impatient de pouvoir recommencer.
Brian Sloan : Les employés essentiels de première ligne.
Brian Tylisz : J’ai beaucoup plus d’appréciation pour les relations que j’ai développées au fil des ans avec mes collègues, des clients et des partenaires commerciaux. J’ai également appris à chérir le temps passé avec la famille car cela peut être difficile de le faire pendant une pandémie, en particulier ceux qui peuvent être dans des catégories à haut risque.
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